lundi 7 décembre 2009

Atterissage a Sao Paolo

Apres 5h de vol et 2h de sommeil, nous sommes arrives a l aeroport de Sao Paolo: Capitale economique du Bresil mais surtout ville gigantique de 17 M d habitants (et pas touristique).
A 7h30, nous arrivons a notre hotel, Formule 1 Paulista dans la rue Consolacao (Au passage, honte au groupe Accor pour le systeme de reservation en ligne qui ne fonctionne pas..). Biensur, nous ne pouvons pas `check in` avant midi..Nous avons alors deambuler sur l avenue Paulista jusqu a un Starbuck coffee ou nous avons fait discretement un petit somme dans les canapes.
L avenue Paulista est un peu la 5th avenue de New York..des grattes ciels a perte de vue.
Apres une bonne sieste de 4h, nous voila en mode `shopping`. Notre ami Edwyn de Sao Paolo nous emmence ce soir dans un bar branche. Avec nos pantalons de randos et nos vieux Tshirts, on va passer pour des `jambons` ( J adore cette expression que meme Peter emploie a present). Peter s achete des chaussures de ville (on va pour du pas cher, pas pour de la qualite) et moi un haut noir et des tongs a faux diamants..Oui bon, je sens qu elles ne vont monter dans l avion pour l Europe celles la.
Le bar est effectivement assez classe avec un voiturier...bref comme dans les films;) On y boit bieres et des capirinhas (Au kiwi!).
Le lendemain, on a longement visite le MASP (Museo Arte de Sao Paolo) qui a une collection impressionante d oeuvres Francaises: Rodin, Delacroix, Poussin, Gaugin et aussi une exposition sur 5 artistes bresiliens contemporains et une exposition du photographe Evan Walkers..Bref y en a pour tout les gouts!
Pour notre dernier soir, Edwyn nous a emmene dans un bar super classe en haut d un hotel qui porte bien son nom: Unique.
A Sao Paolo, nous avons aussi malheureusement experimente : la pluie torentielle et une sorte de gastro..Donc, on a manque de temps pour decouvrir mieux cette ville et ses atouts. Par ailleurs, c est tellement grand et grouillant (le metro est toujours plein a toute heure) que c est une ville difficile a apprehender en quelques jours..surtout que sans parler un mot de Portugais, c est une lutte permanente.


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